Le Figaro, propriété de Serge Dassault, un homme défavorablement connu des institutions judiciaires pour son rapport controversé à la loi (accusation d’achat de voix…), nous explique ce que les rusés musulmans inventent comme subterfuges pour contourner la loi sur les signes religieux ostentatoires. Extraits.
On apprend donc que pour contourner l’interdiction du voile simple à l’école, les jeunes musulmanes optent pour le « Jilbab », un voile beaucoup plus ample assorti d’une tenue qui couvre quasiment tout le corps. Contourner l’interdiction d’un signe religieux ostensible par un signe religieux encore plus ostensible : on n’a jamais vu ruse aussi élaborée.
Les garçons quant à eux, vont en cours en « Khamis », longue tunique qui tombe jusqu’au genoux. Le ridicule est à son comble (mais vous n’avez pas tour vu).
Ces jeunes militantes manquent d’entrain puisqu’elles acceptent « volontiers » de se départir de leur Jilbab « sans ergoter » et ce, chaque matin. On imagine aisément la même scène du professeur faisant la même demande, chaque jour que Dieu fait, durant toutes l’année scolaire. Et on est pris de scepticisme).
Bon entre temps le Jilbab est devenu voile et maxi-jupe. Ces musulmans sont des sorciers.
Venons en au plus croustillant (je passe sur les subterfuges) : ces adolescents qui dissimulent leur djellabas sous leur pantalon. On imagine bien les fesses et les hanches boursouflées de ces jeunes radicaux. Tant de mal pour un vêtement tout à fait accessoire (puisque les experts du Figaro n’ont pas trouvé de verset faisant référence au « Khamis »).
Ensuite, on ne comprend plus rien : des filles adeptes du Hijab (noir ou marron, pas rose) qui retirent leur voile (qui n’est plus un Jilbab, le subterfuge n’aura pas duré longtemps) sans ergoter et gardent « de surcroît » (de surcroît de quoi?) Leurs gants en cours. Que ceux qui ont compris la logique de ce passage se manifestent.
Viennent ensuite les mains gantées, partout dénoncées, aux quatre coins de la France. Vision d’horreur. Qui se gante encore de nos jours, si ce n’est les bourgeoises -ce que ces filles ne sont assurément pas – et les criminels?
L’article conclue en apothéose, avec la dénonciation des brigades de frères (en Khamis) chargés de veiller au respect de l’ordre vestimentaire islamique. A l’intérieur des établissements comme à l’extérieur (c’est à dire partout). Ils patrouillent, ils scrutent, mesurent les étoffes, vérifient les tenues. L’oisiveté qui est leur lot commun le leur autorise.
Enfin pour mieux comprendre ce dont il retourne, Le Figaro propose un visuel.
Vous remarquerez que, sensible à l’interdiction religieuse faite aux Musulmans de représenter les visages, Le Figaro à pris soin de se conformer à cet interdit.